Les végétariens ramènent leur fraise à la cantine

Lundi, 12 Mars, 2018

Pour des raisons environnementales et de santé publique, la transition vers un modèle alimentaire plus végétal se dessine. L’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) préconise désormais de limiter sa consommation de viande et de charcuterie.
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La cuisine végétarienne joue collectif

Pour des raisons environnementales et de santé publique, la transition vers un modèle alimentaire plus végétal se dessine. Lors des débats des Etats généraux de l’alimentation, la piste d’un repas végétarien par semaine imposé dans les cantines a été évoquée. La cuisine végétale constitue désormais une offre savoureuse, saine et durable qui séduit une majorité : ceux qui ne mangent pas de protéines animales pour des raisons religieuses, par conviction éthique, et surtout les curieux de nouvelles saveurs. Un compromis idéal pour la restauration collective.

Des protéines oui, mais végétales !

L’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) préconise désormais de limiter sa consommation de viande et de charcuterie. Selon les recommandations du GEMRCN, il convient toutefois de garantir à chaque repas des apports protidiques suffisants. Une place à prendre par les protéines végétales. Au maximum 3 repas végétariens sur 20 sont recommandés pour les enfants. Adapter le grammage, veiller aux apports en acides aminés, limiter les matières grasses font partie des défis pour les chefs en restauration collective. C’est pourquoi Davigel a conçu une gamme équilibrée à base de légumineuses et céréales : boulettes sarrasin lentilles aux légumes (oignon, poireau), poêlée de céréale et légumineuse à base d’épeautre, d’haricot Azuki et de poivron jaune, steak boulgour et lentilles corail, épinard et carottes ou encore steak quinoa boulgour aux légumes cuisinés (pois, butternut, oignon) …